A propos ...
rencontre "mathrice" du 25/03/04 à
l'IMB
. Il faut s'adapter à la contrainte des marchés puisqu'on n'a pas le
choix.
. JM a calculé sur 4 ans le total de toutes les factures
réseau/serveurs pour en tirer un chiffre : coût d'un utilisateur /an =
1000 FF /an en moyens communs. Ce qui n'est pas cher.
Il cherche à offrir un service identique à tous les utilisateurs. Les
cas particuliers (moi, je veux un gsm, un portable..) ne relèvent pas
du service informatique mais des luttes de pouvoir internes à chaque
labo. N'oublions pas les thésards, leur équipement doit être financé
par les labos.
L'équipe informatique
s'occupe-t-elle des moyens communs ? reportez-vous à votre budget pour
le savoir.
L'équipe informatique gère les choix et leurs devis.
(si je peux me
permettre, avec survey, on pourrait peut-être affiner si on a le besoin
en introduisant la notion de charge par poste, ou groupe de postes, ou
groupe d'utilisateurs, et dire un informaticien coûte tant, un matheux
tant).
Ensuite, Thierry Dumont fait preuve d'une expérience en région
Rhône-Alpes où une étude a été faite par une boîte (filiale de cap
gemini) pour un bureau virtuel, concernant toute la région. La solution
retenue est basée sur le marché, et non sur le logiciel libre. Il va
donc être fourni une solution clé en mains, qui fonctionnera à l'IN2P3
de Lyon. Il n'est jamais question des bases Nabucco et Apogée. Les
doctorants se verront privés d'adresses mail, et le cnrs n'aura pas
d'existence, puisqu'il n'est pas pris en compte par Arpège.
Ceci est un exemple d'externalisation, faite au mépris des personnels
car sans consultation aucune. Enfin, TB fait remarquer que si le projet
n'aboutit pas, il n'y a jamais de responsable.
Ph. Depouilly rappelle qu'aux jres 4 projets de bureau virtuel ont été
présentés, tous 4 initiés par le ministère. Il y en a un seul qui peut
marcher, celui basé sur OpenSource, il marche aux USA, il utilise du
logiciel libre, des techniques maîtrisées. ll inclut des ressources de
télé-enseignement, et là nous allons nous heurter aux enseignants qui
vont revendiquer la propriété intellectuelle de leurs cours. A
Bordeaux, "notre" cri a choisi la bonne solution et commence à
travailler sur le socle technique. L'ennui est que le contenu n'est pas
défini.
. A propos de Supann (cru), on a dit à Paris IV "jetez votre annuaire
ldap à la poubelle et recommencez le avec supann".
. Big is beautiful. On veut passer du tout décentralisé, vers le tout
centralisé, mais sans transition.
Il nous faut garder une partie de la maîtrise de nos applications,
sinon comment traiter les cas particuliers inévitables (un invité qui
vient peu de temps doit pouvoir accéder aux services).
. JM pense qu'on est au début d'une évolution radicale du métier, et
qu'on va être amenés à faire de la réinstall de postes windows, gérer
des portables et être des pros de ghost.
Vaut-il mieux ouvrir une salle libre-service ou envoyer tout le monde
au cybercafé où tout est microsoft ?
Au sein de l'université, tout le monde devrait pouvoir communiquer et
doit avoir une adresse administrative. Or il y a des services où les
personnels n'ont pas d'adresse (environ 1/3 de la population
universitaire, qui se trouve souvent dans les services administratifs).
L'université n'a pas la même vue que le cnrs, puisque il y a 50% de
catégorie C à l'université et 10% au cnrs.
Il y aura sans doutes 2 types d'adresse (ex. x.y@math.cnrs.fr et
x.y@univ-machin.fr).
Nous sommes très dépendants de nos cri, de la concertation éventuelle
avec eux. Nous sommes aussi très dépendants de la dynamique du campus
et de celle de la région. Ce qui fait que nous connaissons des
situations très différentes.
Il n'y a pas de politique informatique au cnrs, et pas de politique
informatique en concertation avec l'université. L'étudiant est perçu
comme un client, l'enseignant-chercheur comme un ***** (je
censure).